« Rendre l’impossible possible, le possible facile, le facile élégant. »

« La seule certitude dans nos schémas comportementaux est notre croyance qu’ils sont constants.  »         

                                                                                                                     
La Méthode Feldenkrais, est un outil de transformation, pour un meilleur usage de soi-même.

Affiner ses sensations
Nous utilisons notre corps en fonction de l’image que l’on a de soi. Plus cette image est claire et plus le mouvement exécuté pourra l’être qu’il s’agisse du geste ou de la voix. Il s’agit de mieux sentir ce qui se passe en soi, et surtout : sans se juger !! Ici, pas de mouvement correct, incorrect, mais plutôt des questionnements : « Est-ce que je sais vraiment ce que je fais ? Est-ce que j’ai d’autres choix/voies à explorer ? « Les parties de moi-même que je ne sens pas bien (où je ne me sens pas bouger ou respirer) sont les parties où vont se loger mes tensions, mes peurs, mes blocages qui me retiennent et empêche ma liberté d’agir pleinement.

Le chemin est aussi (et même plus) important que le but à atteindre
C’est dans l’exploration simple, dépouillée des enjeux de réussite, que l’ on redécouvre des parties de soi, des possibilités nouvelles et le plaisir d’agir sans effort.

Apprentissage et plaisir font bon ménage
Le corps intègrera plus facilement des informations nouvelles quand l’apprentissage se fait dans le plaisir, la facilité et le calme interieur. Le système nerveux retiendra mieux un mouvement fluide, efficace associé à des sensations agréable et s’organisera de lui même pour la retrouver par la suite.

Dissocier/intégrer : la différenciation
C’est la base même d’un usage plus complet et plus harmonieux des différentes partie de notre corps.
Différencier permet de multiplier les choix disponibles pour tout ce que nous ne savons faire que d’une seule manière. Dissocier des parties qui fonctionnent habituellement « en bloc » (épaules / omoplates / bras, ceinture scapulaire, le crâne et colonne vertébrale, les cordes vocales et les muscles du larynx, etc..) permet d’ obtenir ensuite une meilleure « intégration » de chaque partie au tout, de façon à ce que chaque élément joue juste son rôle, en bonne intelligence avec le reste. C’est la dimension systémique de cette méthode, et c’est un des secrets de son efficacité.

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